
Alba
Je m’appelle Alba et je suis sur ce balcon en fausses vieilles pierres. D’ailleurs c’est Pierre qui m’a demandé de poser comme ça, les mains sur les hanches, pour m’éviter les bras ballants. Mais je t’ai vu, je t’ai grillé. Tu as cru que je serais trop occupée pour m’apercevoir que cet instant t’intéressait. Je dis cet instant mais c’est peut être juste moi qui t’intéressait, ou alors le panache roux qui me va si bien. C’est du moins ce qui se dit.